Relevons les persiennes, que je prenne la peine
de l’avouer : je savais qu’aujourd’hui j’aurai
grand-peine
à raconter quelque chose sur le vif qui vaille la peine…
Rien, me voilà en manque d’oxygène, réduit à quelques
fredaines.
que j’assène, genre billet en plastique doublé en
polystyrène
J’ai guetté, cherché, scruté, dégaine limite hallucinogène
Comme shooté au propylène sans croiser un seul aborigène
Sans que s’égrène une quarantaine d’énergumènes
Et j’ai manqué toutes les sirènes d’Andersen
Pas de congrès qui se tienne pour
les victimes d’acouphènes
Pas le moindre tout petit même ridicule rikiki épiphénomène
et j’ai zappé -obligé- la scène avec la blonde semeuse de
haine,
dont l’hygiène « humaine » incertaine file la migraine
Pas de débat contre le kérosène ou la suppression du
polyéthylène
Pas de pompier hellène pour sauver les sphyrènes
Cette rengaine malsaine va tourner au phénomène obscène
Juste un petit trafic d’ébène… c’était l’aubaine !
Tu vois c’est foutu, fini les calembredaines,
Tu vois c’est foutu, fini les calembredaines,
Que plus rien ne gêne ou gangrène, amène-moi le
trinitrotoluène
Tu n'as pas osé la rime en "le pen" ;)
RépondreSupprimermadleine> j'ai pensé que ça allait comme ça, non ?
RépondreSupprimerJe préfère de loin une rime en Madleine.
RépondreSupprimeroxygène> oh oui :)
RépondreSupprimerQuel énergumène !
RépondreSupprimerobni> je sais :)
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