Il y a certaines choses pour lesquelles on se prend la tête alors qu'on n'y peut rien, absolument rien.
Comme la météo.
Et il y a d'autres choses qu'on laisse filer, alors qu'il ne faudrait pas, parce qu'on y peut quelque chose. Je vais arrêter là, je suis trop précis, je sens bien que je ne dois pas me laisser aller ainsi au luxe de détails foisonnants, et peut-être même en ai-je déjà trop dit. Aveuglante clarté. Et puis je ne perds pas de vue que ce qui est bien avec certaines consignes c’est qu’on peut les prendre au pied de la lettre.
Comme ça et pas autrement.
Comme la météo.
Et il y a d'autres choses qu'on laisse filer, alors qu'il ne faudrait pas, parce qu'on y peut quelque chose. Je vais arrêter là, je suis trop précis, je sens bien que je ne dois pas me laisser aller ainsi au luxe de détails foisonnants, et peut-être même en ai-je déjà trop dit. Aveuglante clarté. Et puis je ne perds pas de vue que ce qui est bien avec certaines consignes c’est qu’on peut les prendre au pied de la lettre.
Comme ça et pas autrement.
Non tu n'en as pas trop dit, Number K
RépondreSupprimerIl y a la consigne, et puis le reste.
Ce que j'aime dans le jeu du 366, et c'est pourquoi je poursuis, c'est que l'on peut transgresser. S'arrêter, reprendre, dépasser le nombre fixé..., ou même ... penser et se taire. Une grande liberté, finalement.
J'ai beaucoup aimé ton texte
Belle pirouette qui se laisse malgré tout dévoiler.
RépondreSupprimerclo14 > Il me semble que si un(e) participant(e) s'imposait stricto sensu toute l'année la consigne de façon stricte sur la contrainte des 100 mots au max… cela serait très peu intéressant. J'aime l'idée d'une rédaction commune sur un thème donné, c'est ça qui fait l'originalité de ce défi.
RépondreSupprimerJoli billet, K.
clo,la bacchante,obni> merci les amis ;)
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