Rien n’aurait changé si
Si j’étais resté assis
Rien n’aurait changé do
Si j’avais tourné le dos
Rien n’aurait changé ré
Si j’avais su déchiffrer
Rien n’aurait changé mi
Si je l’avais admis
Rien n’aurait changé fa
Si j’avais trouvé l’alpha
Rien n’aurait changé sol
Si j’avais pris mon envol
Rien n’aurait changé la
Si j’avais été là
et rien ne changerait si il n'y avait pas un peu de musique...
RépondreSupprimerAs-tu été écouté de la musique hier soir ?
RépondreSupprimerOh "écouter" bien sûr !!!
RépondreSupprimerGilsoub > lu et approuvé ;)
RépondreSupprimerMadleine > non, mais ce fut sagement à la maison, le dernier disque paru de Louis Sclavis, chroniqué par ailleurs ;)
Hum ! "es-tu allé" ne serait-il point mieux ?!
RépondreSupprimerHaut de gamme!
RépondreSupprimerMadleine> heu... je suis-t-été ?
RépondreSupprimerLa bacchante> si tu le prends sur ce ton, ça va :)
Rien n'aurait changé ut
RépondreSupprimerEtait facile d'imaginer une suite…
obni> même finale ? Pas plus de bol sur le bémol, pas d'écart sur le bécarre, et aux fraises pour le dièse,
RépondreSupprimerOui mais plus roploplo que le trémolo et plus maigre que l'allegro…
RépondreSupprimer