Les chaussures « des autres » sont régulièrement un
sujet d’étonnement chez moi.
Je me demande souvent, quand mon regard se pose par hasard, car ce n'est pas non plus un objet de recherche, sur la paire de chaussures dont untel ou unetelle est appareillé (harnaché ? affublé ?) comment il est possible de marcher à peu près correctement avec un tel équipement.
Je me demande souvent, quand mon regard se pose par hasard, car ce n'est pas non plus un objet de recherche, sur la paire de chaussures dont untel ou unetelle est appareillé (harnaché ? affublé ?) comment il est possible de marcher à peu près correctement avec un tel équipement.
Quant aux miennes, elles pourraient fort bien susciter les mêmes interrogations -pourquoi pas- car les questions de look sont très très loin d'être la préoccupation prioritaire et elles sont, vous l’aurez sans doute
compris aux quelques lignes qui précèdent, tout ce qu’il y a de
classique, de confortable : c'est vraiment mes pompes ou mes grolles. Voire mes tatanes ou écrase-merde quand j'étais gamin. Bref, mes godasses ! 42.
Paradoxalement, ces critères-là, ça ne rend pas toujours les choses plus simples pour s'en payer une paire !
Paradoxalement, ces critères-là, ça ne rend pas toujours les choses plus simples pour s'en payer une paire !
"je voudrais une paire de grolles, écrase-merde et autres déjections qui pour être confortables doivent être du 42..."
RépondreSupprimerla bacchante > Excellente cette balle au rebond ! Avec franc éclat de rire à la clé :)
RépondreSupprimerEt tiens, cela m'a refait penser (dans l'esprit) lorsque je me suis procuré mon premier téléphone mobile, le vendeur interloqué qui m'entend lui dire : j'en veux un pour pas téléphoner. SIC !
Ramasse-merde, plutôt... :)
RépondreSupprimernicolas > Holà, si tu y vas comme ça, je te renvoie à la consigne d'hier, quand même !!!
RépondreSupprimerEt sans pompe c'est bien aussi, mais impossible dans nos villes, pour les raisons, entre autre, cité plus haut... c'est bien dommage...
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